Le 24 mai, le journal Ryūkyū Shinpō a publié une chronique culturelle intitulée «Histoire d'Okinawa facile à comprendre ~ Interprétation des changements sociaux».
L'auteur est M. Kurima Yasuo. Né en 1941 dans la ville de Naha, il est historien d'Okinawa, chercheur en agriculture et professeur émérite à l'Université internationale d'Okinawa. Dans son article, il explique les mots «Bushi · Samurē · Shizoku», qui sont souvent utilisés dans le monde du karaté d'Okinawa. Nous prenons la liberté de reproduire une partie de l'article en japonais et de la traduire en anglais.
En 1925, le karaté a été présenté devant le prince Chichibu. Cependant, le karaté n'est pas le seul art martial démontré ce jour-là. Voici un nouvel article à propos de Maekawa bo, et d'une grotte qui fut un site d'entraînement...
(Brochure du 1er évènement commémoratif du 25 octobre 2005)
En 2005, l'Assemblée de la Préfecture d'Okinawa a adopté une résolution déclarant le 25 octobre Karate no hi, le jour du karaté.
Dès lors, chaque année, la Préfecture d'Okinawa et les organisations locales de karaté ont organisé des évènements commémoratifs. L'année dernière, le record mondial Guinness pour "Le plus grand nombre de personnes effectuant un kata" a été enregistré.
Cette année, les commémorations auront lieu le mercredi 25 octobre à l'Okinawa Karaté Kaikan et le dimanche 29 octobre dans la rue Kokusai de Naha City.
Lire la "Résolution sur la déclaration du jour du karaté" (en anglais)
Shuri, Naha et Tomari sont des districts considérés comme le berceau original du karaté. Pourtant, de nombreuses autres régions d'Okinawa ont leurs propres histoires martiales. Parmi ces districts, on trouve le quartier de Uebaru dans la ville de Naha.
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Une entrevue avec Tomoyose Ryukō sensei, reconnu par la Préfecture d'Okinawa comme titulaire du bien culturel intangible qu'est le "Karaté et kobujustu" d'Okinawa.
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